(hj pour bien comprendre ce qui arrive à mon perso, vous pouvez aller lire sa présentation)
Ayleen ouvrit les yeux et un puissant mal de tête la submergea. Elle voulut bouger, mais elle était solidement attachée. Elle tenta de crier au secours, mais elle était baillonnée.
*Dans quel pétrin je suis moi?*
Un homme s'avanca vers elle et l'expression de son visage n'exprimait rien de bon. Derrière l'homme. elle en remarqua une dizaine d'autres, tous à l'allure hostile. Il prit la parole.
"Tiens tiens. Je ne croyais pas que tu allais être aussi imbécile pour revenir ici. Je croyais qu'Alicia t'avais éduqué sur la voie de l'intelligence..."
En entendant le nom de sa mère, Ayleen tenta de reconnaitre l'homme devant elle, mais plus elle essayait de penser, plus le mal de tête se faisait ressentir.
"Tu fais moins la brave maintenant fillette." L'homme sorti de sa ceinture un poignard éfilé. Il s'approcha d'Ayleen et elle pouvait sentir son haleine fétide.
"Je suis un survivant de ton carnage que tu as fait subir à mes compagnons il y a cinq ans. J'ai ai tous vu mourir par ta faute, sorcière. J'ai fait le mort et je me suis juré que j'allais me venger de toi un jour. Je voulais partir à ta recherche, mais les dieux m'ont exaucé, tu t'es jeté dans mes bras comme une jeune mariée..." Il se mit à rire d'un rire cruel. Avec son poignard, il détacha doucement la cuirasse d'Ayleen. Elle se retrouva simplement en tunique. L'homme la regarda avec des yeux sauvages.
"Je vais réussir où mes compagnons ont échoué." lui souffla-t-il à l'oreille. "Je vais goûter à ta peau de pêche et te découper en morceaux une fois moi et mes hommes assouvis."
La chevalier tenta de se débattre, mais les liens étaient trop serrés. L'homme la gifla avec le pommeau de sa dague, lui faisant saigner de la joue.
"Reste tranquille! Je suis sûr que tu vas aimé ça."
À ces mots, il commenca à couper la tunique d'Ayleen avec une lenteur horrible. Des larmes coulaient le long des joue de la jeune femme. Elle aurait aimé mourir sur la tombe de sa mère, mais pas aux mains de ces malfrats.
(hj, lâchez-vous lousse les amis, faites leur mal...ils sont 10)